Assis sur une pile de sacs de mil dans le village de Sarkin Hatsi, au sud du Niger, Sa’a Moussa sourit fièrement. Aujourd’hui, c’est le jour de la livraison et, dans l’entrepôt de sa coopérative 100 % féminine, elle attend avec impatience l’arrivée des camions pour récupérer la récolte.
«Ça n’a pas toujours été comme ça. Nous avons parcouru un long chemin », dit-elle en réfléchissant au parcours de l’association agricole Hadin Kan Mata, forte de 820 membres, qu’elle dirige, dans la région de Maradi, à la frontière avec le Nigeria. « Nous avons dû composer avec cela pendant longtemps. saisonniers qui changent de manière inattendue.
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Source: wfp.org